top of page

 

                                                                HISTOIRE URF

 

La première édition du festival annuel pour la promotion du Reggae, de ses artistes et de sa culture de a eu lieu en 2011 et a mis à l’honneur le reggae ivoirien, par la présentation du documentaire réalisé par Aphrika-Beat sur les rastas et leur village à Abidjan et alentours.

 

En effet, le village rasta de Vridi, quartier du sud d’Abidjan, que nous avions pu modestement aider avec les fonds collectés , lors de l'édition 2011 a été complètement rasé.  Ce qui a donné lieu une 3 ème édition au Cabaret Sauvage avec comme invités I JAH MAN LEVI, porté par Aphrika-beat et Koalitick.

 

Ainsi la moitié des bénéfices du concert a permis aux rasta de côte d'ivoire de se constitués en association,   l' ASSOCIATION DES ARTISTES ET ARTISANS RASTA ( AARCI) de Côte d'Ivoire, facteur juridique important pour les aides financières a donc vu le jour.

 

L'association APHRIKA-BEAT a pour sa part, fait des démarches auprès de l'ambassade de côte d'ivoire, pour se faire reconnaitre en tant qu'association ivoirienne, ce qui lui permettra d'approcher les autorités compétentes, pour faire avancer le dossier du projet de la reconstruction.

Une partie des fonds récoltés a aussi permis d'acheter deux ordinateurs DELL, une ouverture de compte, alimenté aussi par une partie de ces fonds.

 

Aphrika-Beat s'est aussi rendu en Éthiopie précisement à Shashamane, ville située à 250 km au sud d'Addis Abeba la capitale Ethiopienne. En ce lieu vivent des rasta à qui sa Majesté Hailé Sélassaié a attribué une portion de terre de 500 ha, en guise de remerciement au soutien de la diaspora noire contre l'invation Italienne.

 

Des rasta jamaïcains et de toute la caraïbes s'y est donc retrouvés, pour construire la nouvelle Jérusalème comme ils disent. Mais aussi des Européens, Americains blancs qui se reconnaissent dans le mouvement rasta. Un documentaire BIG UP SHASHAMANE sur l'histoire du retour des fils d'exclaves a été réalisé par Romy.k .

 

En 2014 

Aphrika-beat s'est rendu au Sénégal pour rencontrer les rasta du sénégal . Au sénégal il y a la philosophie BAYE FALL ceux qui suivent le Sérigne de TOUBA, portent des Drealocks sont être RASTA. Il ya les orthodoxes qui reconnaissent HAILÉ Sélassie comme guide spirituel mais le fait de vivre dans un environnement fortement influencé par le marabout et la réligion musulmane, a un impact considérable sur les choix à faire et les frontières à ne pas depasser.

 

Il y a aussi des acteurs culturels et associatifs, militants engagés qui luttent pour endiguer le phénomène des déchets plastiques, qui constituent une véritable menace pour l'écho-système au Sénégal, en Afrique et dans le monde.

 

Aphrika-beat a donc décidé de faire écho à cette action des rasta du Sénégal, en co-organisant le 22 novembre, la 4ème édition de URF dont le thème est : RASTA et Développement durable.

 

En effet Les Rasta aiment et vénèrent la nature, ils se sentent si proche d'elle. Ils suivent un régime alimentaire spécifique (nommé I-tal qui signifie “vital”). En fait les Rastas ne mangent pas ce qu’ils ne jugent pas naturel.

 

Au delà du message de paix et d'amour que peut véhiculer la musique reggae et les rasta, le mouvement rasta est avant tout un mouvement d'émancipation des consciences, de dénonciation des dérives d'un système.

 

Le développement durable étant le développement qui répond le mieux aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures,  le reggae et les rasta vont être sollicités, pour soutenir une cause qui est la leur, mais aussi celle de toute l'humanité... Sauver notre planète.

 

 

 

 

INFO

Je suis un paragraphe. Cliquez ici pour ajouter votre propre texte et modifiez-moi. Je suis l'endroit parfait pour raconter une histoire, et pour vous présenter à vos utilisateurs.

bottom of page